Diffusée le 22/11/2019
Désormais, il n’est plus surprenant de voir une œuvre d’art se vendre plusieurs dizaines de millions d’euros. Toiles de grands maîtres ou œuvre contemporaines aujourd’hui l’art se négocie à prix d’or.
Dans les différentes maisons de ventes, les connaisseurs continuent d’enchérir alors que le grand public reste sans voix à l’annonce d’une nouvelle vente record.
Spéculation financière ou simple évolution du marché ?
Le marché de l’art est-il fou ?
Nicolas Laugero Lasserre et ses chroniqueurs débattent de la question sur le plateau de Art Club.
Diffusée le 13/12/2019
C’est une évidence, l’éveil des enfants à l’art est important pour leur développement. Les musées organisent de plus en plus d’ateliers pour les enfants.
Cependant, emmener les enfants au musée peut vite relever du parcours du combattant, autant pour les enfants eux-même, leurs accompagnants, que les autres visiteurs.
Faut-il réellement emmener les enfants au musée ?
Nicolas Laugero Lasserre, accompagné par ses invités , Valérie Duponchelle, Sarah Belmont, Anais Montevecchi et Cyrille Gouyette répondent à cette question des enfants au musée.
Diffusée le 17/01/2020
Plus d’un million.
C’est le nombre de personnes ayant visité l’exposition De Vinci au Louvre clôturée en février 2020.
Le Louvre, lui, a comptabilisé plus de 10 millions de visiteurs en 2018.
L’art qui est souvent dans les grandes villes, avec des tarifs d’entrées parfois élevés ne reste t-il pas réservé à une élite ?
Pourquoi et comment rendre l’art accessible ? Quels sont les nouveaux dispositifs mis en place par les lieux culturels ?
Nicolas Laugero Lasserre et les chroniqueurs de Art Club échangent de ce sujet de société.
Diffusée le 14/02/2020
Bien que la société actuelle tende vers l’égalité entre les hommes et les femmes, ces dernières ne représentent seulement que 23% des artistes présents dans les FRAC.
Seulement 19 d’entre elles sont présentes dans les 100 artistes les plus visibles dans le monde.
D’où vient cette fracture sociale ? Les mentalités sont-elles en train d’évoluer ? Les femmes doivent-elles s’organiser pour se faire entendre ? Comment favoriser la parité ?
L’équipe de Art Club, menée par Nicolas Laugero Lasserre, étudie cette question d’actualité à l’échelle du monde de l’art.
Diffusée le 13/03/2020
Instagram, ce réseau social basé principalement sur la photographie, réunit tous types d’utilisateurs, de plus en plus nombreux.
Ente les photos du dernier repas au restaurant, souvenirs de vacances et messages d’influenceurs, il est également possible d’y admirer de l’art.
Les artistes, galeries et musées postent chaque jour de nouvelles photos pour réunir un maximum d’abonnés.
Véritable outil de communication, il est même désormais possible d’acquérir une œuvre d’art via la plateforme. Instagram est devenue une nouvelle façon de “consommer” de l’art.
Mais est-il réellement possible d’apprécier une œuvre d’art via un écran de téléphone ?
Instagram peut-il remplacer le rôle d’une galerie ?
Diffusée le 20/04/2020
Décembre 2019, un nouvel artiste fait le buzz : Maurizio Cattelan.
Il expose une banane scotchée sur un mur qu’il vendra 120 000 dollars.
Un autre artiste, David Datuna, complète le tableau en réalisant une performance intitulée “Hungry Artist” consistant à manger cette même banane exposée.
Les réactions ne se sont pas fait attendre.
Au cours de l’histoire, de nombreux artistes se sont fait remarquer en réalisant toutes sortes de créations, interrogeant toujours un peu plus notre société. Bien que ces provocations soient désignées comme art, les artistes peuvent-ils tout se permettre ?
Nicolas Laugero Lasserre réunit une nouvelle fois toute l’équipe de Art Club pour répondre à cette question.
Nicolas Laugero Lasserre est directeur de l’ICART (l’école du management de la culture et du marché de l’art) et président fondateur d’Artistik Rezo (Média, Club et Galerie).
Commissaire d’exposition spécialiste de l’art urbain, il a organisé plus de 50 expositions ces dix dernières années autour du mouvement, avec des institutions publiques et privées. Passionné et collectionneur, sa collection est depuis 2013 en exposition permanente à l’école 42 (fondée par Xavier Niel).
Membre du conseil d’administration de l’ADIAF (Association pour la diffusion internationale de l’art français), il s’y investit jusqu’à créer en 2014 le département Jeunes collectionneurs. Président de l’Association des directeurs et producteurs de théâtre depuis janvier 2015, il y anime des rencontres mensuelles autour d’une trentaine de directeurs et producteurs de spectacles à Paris.
Directeur de l’Espace Pierre Cardin jusqu’en 2015, il a développé pendant plus de 15 ans une programmation pluridisciplinaire mêlant spectacles, expositions et évènementiels culturels.
Ses activités et son réseau professionnel sont transversaux et s’intéressent autant aux arts du spectacle qu’aux arts plastiques, offrant ainsi une vision d’ensemble du secteur culturel.
Critique d’art au « Figaro », Valérie Duponchelle a arpenté musées, foires, biennales, rétrospectives et rencontré ainsi en vingt ans les grandes figures du monde de l’art. De la Biennale de Venise au Festival photo de Kyoto, Kyotographie, en passant par le Palais de Tokyo, Valérie Duponchelle a couvert de nombreuses expositions.
Elle a écrit sur les plus grands artistes comme Pierre Soulages, centenaire de l’abstraction, en le suivant de Paris Rive gauche jusque dans sa maison à Sète.
Ou encore sur Damien Hirst ce roi punk de l’art anglais, rétif et redoutable lors d’une vraie rencontre en 2008 au cœur de l’été pluvieux londonien.
Historienne et géographe de formation, cet ancien grand reporter du « Figaro » en a gardé le goût du contexte, de la rencontre, du détail, du portrait. Elle a reçu en 2008 le Prix international de la critique d’art de la Fondation de Moffarts à Bruxelles.
“Écrire sur les artistes induit empathie, connaissances sans cesse à renouveler, travail de chercheur, chaleur du contact et distance équitable” – Valérie Duponchelle
Diplomée d’un DNAP et d’un DNSEP à l’ENSAPC (École Nationale Supérieure d’Arts de Paris Cergy), Anaïs Montevecchi s’est spécialisée en médiation de l’art contemporain dans le secteur privé. Elle accompagne le public individuel à la découverte des galeries d’art avec les Galeries pour tous,qu’elle fonde en 2013. Le Décodeur d’art fondé en 2016, s’adresse aux groupes et aux entreprises auxquelles elle propose des visites guidées et des conférences sur-mesure. Elle conçoit également la médiation culturelle de lieux d’art, foires d’art contemporain et événementiels artistiques. Elle valorise également les œuvres d’art des collections privées ou d’entreprises. Elle a été rapporteur du salon Galeristes 2016 et jury du prix YIA Bruxelles en 2016.
Journaliste par vocation, Sarah Belmont se veut à la fois sérieuse et… légère. Comme une plume. Une plume qui voyage d’un pays, mais surtout, d’un musée à l’autre. Une plume qui pond, avec joie, des articles sur ce qu’elle voit.
Pour Le Parisien Week-End, Beaux Arts, The Art Newspaper International. Sur l’art, avant toute chose. En français et en anglais, tout en cultivant le russe et l’espagnol. Sarah est une passionnée de langues. D’où son premier livre, Faute(s) de mots, petit guide poétique sur le bon usage du français (éd. Le temps qu’il fait). Deux autres sont en préparation. Sans compter trois projets d’émissions, dont un en langue des signes.
Cyrille Gouyette est diplômé en histoire de l’art à l’Université Paris I, Panthéon Sorbonne. Il rejoint le musée du Louvre en 1993 et développe des programmes pédagogiques pour les jeunes publics, y compris les visiteurs handicapés, pour lesquels il a développé du matériel pédagogique pour l’accès des malvoyants à l’art avec une série de livres tactiles et une galerie tactile de moulages. Il organise des expositions pédagogiques itinérantes à travers différents pays étrangers (Europe, Asie et Amérique centrale).
En 2008, il devient chef du service de l’éducation artistique, développe des partenariats avec les écoles et les universités et programme des formations pour éducateurs. En 2018, il a programmé une « saison street art » confrontant les artistes classiques et urbains. Son dernier livre « Sous le Street art, le Louvre » montre l’héritage des maîtres anciens dans cet art contemporain.
En 2019, il a organisé l’exposition « Veni, Vidi, Vinci – L’art urbain face au génie » sur Fluctuart, le tout nouveau Centre urbain de Paris.